Lu dans La Provence, le nouveau mode de calcul de la redevance des ordures ménagères assimilées fait grincer des dents les professionnels. Il aurait été intéressant d’avoir l’avis de la ville considérée également comme productrice de dechets professionnels @AudreyAvesque
4 réponses à “Lu dans La Provence, le…”
La ville n’a pas bataillé longtemps, un marché avec la société Pizzorno a été conclu pour 4 ans pour aller collecter et traiter les déchets des établissements de la ville et des écoles. Ce marché a été attribué sans réelle concurrence, puisque Pizzorno était le seul prétendant…
Bref … rappel de la dernière situation ici : twitter.com/CollectifCeM/s… où nous avons dû nous déplacer au service des marchés de la ville pour consulter un marché biffé à toutes les pages sous surveillance de crainte que nous prenions les pages en photo. #Ambiance
Bref nous nous interrogeons toujours sur la passation de ce marché (1 seul pretendant), le coût (500 euros la tonne de déchets non valorisés), le fond (rien sur les déchets valorisés), l’esprit (pour les écoles, les déchets non valorisés viennent du gaspillage alimentaire)…
Et bien entendu plus d’éclaircissement sur le nouveau règlement metropolitain de la gestion des déchets dont la ville (sous Gaudin) a un peu trop rapidement pris la décision de prendre une collecte privée comme solution. Nos tweets sur le sujet mobile.twitter.com/search?q=(from…