La précarité et les bas salaires des personnels qui accueillent nos enfants dans les écoles dégradent leurs conditions d’apprentissage.
Lorsque plus personne ne voudra être enseignant, aesh ou ATSEM, il faudra se contenter de recrutements de gré à gré à la va vite. twitter.com/olivier_ritz/s…
2 réponses à “La précarité et les bas…”
Que vos enfants soient au fin fond de la campagne, dans une cité marseillaise ou dans un centre ville huppé, les enseignants ont un haut niveau de qualification.
C’est la casse de cette égalité territoriale qui est en jeu.
Nous réclamons également un vrai statut avec un vrai salaire et une formation adaptée pour les aesh.
Idem pour les personnels municipaux des écoles ainsi que les animateurs.
Accueillir et accompagner des enfants dans leurs apprentissages est un métier.